Le toit Tectal exprime toute la beauté de l'aluminium anodisé
Le revêtement de toiture Tectal (U.S Patent 6,557,315 B2, expiré) a été conçu comme un système haut
de gamme incorporant esthétique et durabilité. Il utilise des tuiles et des moulures d'aluminium
anodisé dans les couleurs de l'arc-en-ciel et des nuances de bronze.
Tectal, un revêtement noble
Le toit Tectal allie authenticité, beauté et durabilité, et respect de l'environnement.
Complètement minéral et inerte, on le compte parmi les revêtements nobles, mais contrairement à
ceux-ci, il présente l'avantage d'offrir toute une gamme de couleurs.
Caractéristiques techniques
Des tuiles robustes
Le toit Tectal est conçu pour résister aux intempéries et durer très longtemps. L'épaisseur des
tuiles — 1,3 mm, environ le double de la valeur normalement utilisée pour le métal de
couverture — est un important facteur de durabilité, leur robustesse mécanique se trouvant ainsi
multipliée par huit.
Une totale imperméabilité
Un recouvrement de 9cm, un contact complet des surfaces dans l'aire de recouvrement et une membrane
sous-jacente intégrale (Vaproshield SlopeShield Plus) garantissent l'impermétabilité du toit
Tectal.
Une résistance exceptionnelle aux vents extrêmes
La résistance à l'arrachement par le vent, un aspect technique crucial, est supérieure à 350 km/h
(testée à l'Institut de recherche en construction du CNRC à Ottawa).
Une épaisse couche d'anodisation
À 20 microns, la couche d'anodisation du toit Tectal surpasse la norme américaine de 18 microns pour
les applications architecturales de l'aluminium et garantit la permanence de l'aspect de surface.
Des couleurs à l'épreuve des rayons ultraviolets
Tectal obtient des couleurs par diffusion différentielle ou interférence de la lumière dans le film
anodique, de sorte que les pigments sensibles à la détérioration par les ultraviolets ne sont pas
utilisés.
Une technique qui respecte l'environnement
L'anodisation se fait à la température ambiante, ne produit aucune émision gazeuse et se pratique de
plus en plus en boucle fermée, sans aucun effluent. Le fini étant complètement minéral, les rebuts
de fabrication et d'installation et, éventuellement, la couverture entière, peuvent être recyclés
sans danger, car aucun gaz n'en émanera lors de la refonte. Enfin, le toit Tectal est conçu de
manière à créer une mince couche d'air isolante entre la surface inférieure des tuiles et la membrane
sous jacente: le transfert de chaleur par conduction vers l'intérieur du bâtiment est aussi réduit.
Qualités esthétiques
Une géométrie particulière
La beauté du toit Tectal tient d'abord à ses lignes géométriques. L'arrondissement du coin apparent des
tuiles et leur disposition en losange recréent, avec plus d'harmonie et de douceur, une géométrie
classique traditionnellement très prisée.
Un aspect de surface distinctif
Les tuiles Tectal sont anodisées. L'anodisation laisse
à la surface des tuiles une couche très dure de céramique d'alumine, tout en préservant l'aspect
métallique et l'authenticité du matériau.
Des couleurs riches et harmonieuse
Tectal offre une palette comprenant plusieurs nuances de bronze et toutes les couleurs de
l'arc-en-ciel. Sous la pluie ou au grand soleil, suivant l'heure du jour et l'angle d'incidence de la
lumière extérieure, les tuiles Tectal confèrent aux toitures de subtiles tonalités de couleur. Cette
extraordinaire sensibilité à la lumière, et la riche texture de couleur de l'aluminium anodisé,
rehaussent l'apparence du toit, qui devient alors un élément architectural à part entière.
Questions pertinentes
Une toiture Tectal coûte environ trois fois plus cher qu'une toiture en papier et environ
deux fois plus cher qu'une toiture en acier peinturé, parce que, dans les deux cas, le
matériau et l'installation coûtent plus cher. Il faut considérer une toiture Tectal comme un
élément de l'enveloppe dont la durée de vie est essentiellement celle d'un revêtement
extérieur de brique ou de pierre, c'est-à-dire de cent ans. Curieux tout de même, que la
partie de l'enveloppe du bâtiment, celle qui est la plus exposée aux éléments, vent, neige,
glace, pluie, rayons ultra-violets, soit justement le lieu de toutes les économies.
Pour quatre raisons. La première : la paix. La réfection récurrente d'une toiture revêtue de
matériau périssable représente un gros chantier. Les tracas que cela occasionne ne sont pas
comptabilisés mais leur impact n'en est pas moins réel.
Deuxième raison, qui relève de l'architecture : l'uniformité de la qualité des matériaux.
L'enveloppe d'un bâtiment, d'une maison par exemple, est souvent constituée de matériaux
nobles et durables – tels la brique cuite, la pierre, les moellons de pierre synthétique – et
d'autres matériaux périssables dont la durée de vie est relativement courtede, tel le papier
d'asphalte de couverture. Pourquoi cet abaissement des standards sur les parois du
bâtiment les plus exposées au regard et aux éléments?
Troisième raison : le recyclage. Lorsque nous avons entrepris le développement du
revêtement de toiture Tectal, il y a plus d'une vingtaine d'années, de soi-disant experts en
marketing nous ont prévenus que les gens n'étaient pas sensibles à cet aspect des choses.
C'est de moins en moins vrai. Les revêtements de papier d'asphalte et de métal peinturé
aboutissent au dépotoir d'enfouissement. Lorsque, loin dans le temps, un bâtiment
recouvert d'une toiture Tectal sera modifié ou démoli, la toiture d'aluminium sera
démontée et réutilisée, ou aboutira chez le recycleur. Ce dernier cas échéant, nul besoin de
précautions particulières car les tuiles entièrement minérales ne comportent aucune
peinture; aucun composé organique ne se dégage sous l'effet de la chaleur du procédé de
refonte comme cela se produit lors du recyclage de produits peinturés.
Quatrième raison : pour son bon plaisir. Celui d'installer sur la toiture un revêtement noble,
dans la catégorie de l'ardoise – revêtement par excellence, qui trône au-dessus des autres –
du cuivre, du zinc et de la céramique, mais moins cher. Tous les produits nommés partagent
la caractéristique d'être extrêmement durables, distinctifs, entièrement minéraux et
facilement recyclables. C'est pourquoi on les appelle nobles.
Une toiture Tectal est conçue et construite pour ne jamais couler. La garantie s'appuie donc
sur la qualité de conception et d'exécution.
Le revêtement Tectal est en réalité constitué de deux couches imperméables : les tuiles
d'aluminium dont l'épaisseur assure une vie utile indéfinie dépassant cent ans, et la
membrane intégrale collée sur le support, dont la vie utile est illimitée, protégée qu'elle est
des rayons destructeurs du soleil. Aux endroits critiques, tels les noues et les pourtours de
cheminée ou d'évents, on ajoute une troisième barrière. La garantie est simple : si la toiture
coule, nous la réparerons.
Quant à la couche d'anodisation, elle est réalisée selon les mêmes standards (notamment
ISO 9001) que pour les édifices de prestige, telle la maison Alcan de la rue Stanley à
Montréal, dont le revêtement anodisé de 40 ans est aussi beau qu'au premier jour.
Oui, c'est vrai. Depuis 22 ans, j'habite dans une maison revêtue d'une toiture Tectal. Je
découvre encore de nouvelles nuances, pas tous les jours bien sûr, mais de temps en temps.
Sous l'effet d'un soleil couchant, lorsque les rayons sont presque parallèles au plan de la
toiture on dirait du cuivre patiné en brun foncé. Magnifique.
Non, aucunement. À l'intérieur, sous forte pluie, on peut percevoir un bruit sourd,
exactement comme sur un revêtement de papier d'asphalte. Cette question est souvent
posée parce que chacun a fait l'expérience de la pluie sous une toiture métallique de
garage, de remise ou de grange. Ces toitures ne sont pas isolées, alors qu'une toiture de
maison possède une isolation de 10 à 12 pouces, aussi efficace pour empêcher la
transmission du son que le flux de chaleur.
On pose cette question souvent mais il y en a une autre qu'on ne pose jamais. C'est la
question suivante, qui fait donc partie de celles qu'on devrait poser, non seulement par
rapport au revêtement Tectal mais par rapport à tout revêtement de toiture.
Toute couverture métallique non-pourvue d'arrêts -neige se déleste spontanément de sa
couverture de neige, même à des pentes faibles de 1:4. Voici une description du mécanisme.
Supposons une température de -1 °C, et qu'une averse hivernale forme une couche de neige
sur la toiture. La neige restera accrochée jusqu'à ce qu'un réchauffement provenant de
l'extérieur ou de l'intérieur, amène la température à la surface du métal à 0 °C. Lorsque cela
se produit, un film d'eau apparaît à l'interface entre la couche de neige et le métal, la
résistance à la force de cisaillement tombe à zéro, la couche de neige peut glisser librement
et l'avalanche se déclenche.
Supposons maintenant qu'une couche de neige s'accumule régulièrement sur la toiture à
des températures bien en-dessous du point de congélation, pendant des heures. Au fur et à
mesure que la neige s'accumule, la force de cisaillement qui tend à faire glisser la couche de
neige sur la surface de métal augmente en proportion. Viendra un moment où les forces
d'accrochage de la neige à la surface de métal seront dépassées et l'avalanche se
déclenchera. Dans ce dernier exemple, la description du phénomène est sommaire. En
réalité, le déclenchement de l'avalanche dépend de l'épaisseur et du type de neige, de la
température extérieure, du vent, de la température à l'intérieur du bâtiment, de l'isolation
et de la ventilation de l'entre-toit.
Alors, une couverture de métal peut donner lieu à des avalanches. Sous le climat québécois,
celles-ci se produisent en majorité au début et à la fin de l'hiver, alors que les températures
sont proches du point de congélation. Les avalanches ont trois conséquences : le bruit à
l'intérieur du bâtiment, la chute de neige elle-même sur une partie du périmètre du
bâtiment, l'accumulation de neige lourde autour du bâtiment.
Le bruit occasionné par une avalanche sur la toiture est fort, surprenant et dérangeant.
Quant à la chute de neige, elle peut présenter des inconvénients, voire des dangers pour les
personnes.
On m'a un jour rapporté qu'une certaine maison avait reçu une nouvelle toiture en bardeaux
de métal peinturé. Passé la voir, je me suis avisé que ces gens ne pourraient pas rentrer chez
eux au cours de l'hiver car une noue formée par deux grands versants de toiture aboutissait
juste au-dessus de la porte d'entrée. Un détail architectural déplorable et possiblement
sans conséquence si la toiture est en papier d'asphalte, qui retient la neige jusqu'à des
pentes très élevées. Par contre, avec une toiture de métal, c'est une catastrophe.
Effectivement, pendant l'hiver, cette maison est équipée d'un tambour de toile devant la
porte d'entrée. Pas joli.
Comme troisième conséquence des avalanches sur la toiture : un amoncellement de neige
dure autour du bâtiment. La neige qui résulte d'une avalanche a subi une transformation
qui la rend dense et compacte. Lorsqu'elle gèle, elle forme une masse dure comme de la
glace qui fond tardivement au printemps.
Le principe que nous appliquons est celui en vigueur partout en Europe. La photo en première position, une
photo qui montre S.G., Ph.D., en randonnée dans les Alpes suisses. On voit des dizaines de
ce type de toitures dans les images du Tour de France ou les vidéos de parcours cyclistes
alpins européens.
La photo du milieu, un agrandissement qui illustre le
principe : la neige est retenue sur la toiture
par des arrêts-neige disposés sur toute la
surface du toit. À la distinction des
barrières à neige, typiquement installées
au bas d'un versant et conçues pour
stopper une avalanche, les arrêts-neige
sont répartis uniformément de la rive de
gouttière jusqu'au faîte, et sont conçus
pour empêcher le déclenchement des
avalanches.
La troisième photo, une toiture Tectal pourvue d'arrêts-neige. À signaler que les attaches des
arrêts-neige ne sont pas traversantes, un aspect très important.
Avec cette solution, qui peut être mise en œuvre après l'installation complète du
revêtement, fini les vacarmes d'avalanches, les risques et les amoncellements de névé
autour du bâtiment.
Plus de vingt ans, sur quelque 10 000 pieds carrés. Les toitures sont comme au premier jour,
sans aucune détérioration visible, et l'aspect de surface, couleur, réflectivité, comme à
l'origine.
Non. Elle exige du travail de précision, cela va de soi, mais ne présente aucune
difficulté particulière. Nous savons par expérience qu'un constructeur habitué à
construire des ouvrages de qualité réussit du premier coup à faire une toiture
parfaite. Pour la construction d'une première toiture par un entrepreneur, nous
affectons sans frais quelqu'un au projet, présent sur le chantier en permanence.
Tous les détails de construction sont décrits dans un manuel de construction qui
comporte 43 dessins, plusieurs en 3D, et 43 pages de rubriques explicatives. Voici
quelques pages du manuel.